* Theodora * Reine des Vampires

Nom : Isidor
Prenom : Theodora
Lieu de naissance : Un petit village humain entre l'arbre des fées et Atlantide
Lieu de résidence : Atlantide
Age : quelques 2000 ans, environs. Mais 19 apparant.
Sexe : Féminin
Race : Vampire

Arme de predilection : Des Saïs en argent



Pouvoir : Télépathie et Fascination

Elément : La terre. Très grande affinité avec les roches, quelque peu légèrement moindre avec les plantes

Histoire :

Theodora est née humaine, dans l'un des villages construits par les rescapés, entre deux endroits merveilleux. Atlantide d'un côté, et l'arbre des fées de l'autre. Son père était le chef du village, qui se nommait Epidore, et sa mère en était la principale guérisseuse. Aucun des membres du village n'avait de pouvoir, ou n'appartenait au monde magique et ils vivaient très bien ainsi, en harmonie avec les créatures de la forêt qu'ils se gardaient bien d'offenser.
Petite, Theo était invitée à passer du temps avec les fées, avec lesquelles elle s'ammusait beaucoup. Ce furent ces êtres qui l'éduquèrent en grande partie, trop occupés étant ses parents pour l'élever convenablement, mais cet équilibre allait très bien à Theo qui savait profiter de ses parents quand elle en avait l'occasion, et de ses "tantes" comme il le fallait. Elle fut d'ailleurs l'une des rares humaines à avoir eu le privilège de rencontrer des Chlorophylliens.
La petite qu'elle était grandit donc, élevée harmonieusement, et gagna en maturité, confiance en elle, beauté, et intelligence. Et ce, jusqu'à ses dix neuf ans. Dans sa vingtième année, son corps commença à être douloureux. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait: elle qui était vive et sportive avait soudain du mal à bouger... Finalement, au bout de quelques jours, elle fut paralysée. Des marques bleues avaient fait leur apparition sous sa peau, comme le motif des veines mais en plus compliqué, en plus élaboré. En plus "beau"... De nombreux symptômes firent leur apparition, en plus de la paralysie. Elle avait des difficultés à respirer, à réfléchir... Il lui arrivait de rester plusieurs jours à dormir, comme dans le coma, sauf qu'elle restait à peu près consciente de ce qui se passait autour d'elle... Et puis un matin, elle retrouva sa liberté de mouvement. Au début, elle eut du mal à y croire, craignant de souffrir au moindre geste, mais après quelques étirements... Elle se rendit compte qu'elle était en pleine forme, comme si elle n'avait jamais autant été en vie que maintenant, et pourtant...
Ses "premiers" pas, elle les fit seule. Sa mère, d'habitude à son chevet, avait déserté, sans que la jeune femme ne sâche pourquoi. Et puis Theodora réalisa qu'elle avait faim... Alors qu'elle se dirigeait à pas précautionneux vers la cuisine de la maison, elle passa devant un mirroir, accroché dans le couloir, et si au début elle ne fit pas attention... Elle revint sur ses pas, consternée par son reflet.
Avant sa maladie, ses cheveux étaient noirs comme la nuit. Ils étaient maintenant bleus, avec des reflets blancs et gris sur les pointes, comme un dégradé. Sa peau n'était plus la même. Elle était blanche. Bien trop blanche d'ailleurs... Mais à la limite, ça n'était pas si important puisque Theodora relevait d'une maladie. Et puis, plusieurs choses lui sautèrent aux yeux. Sa plastique avait légèrement changée. Elle était plus ferme, sa peau plus douce et... Le rouge lui monta aux joues. Enfin, il aurait dû... Theodora était quelqu'un de très émotif, alors pourquoi le rouge ne lui montait-il pas aux joues? Alors qu'elle élucubrait, elle s'aperçut d'autre chose. Quelque chose de bien plus inquiétant... Son coeur ne battait plus! Là, la panique commença à l'envahir, elle se mit à trembler devant le mirroir, espérant se reveiller d'un très mauvais rêve, quand ses parents la surprirent debout.
Ce fut comme si le temps s'était arrêté. Ils s'observèrent tous les trois. Et Theodora réalisa que sa vision était supérieure à avant. Elle voyait des détails qui lui avaient échapé jadis. Et les yeux rougis par les larmes de ses parents fûrent de ces détails.

"Maman, papa... Qu'est-ce qu'il se passe? Quelqu'un est mort?"

Sa phrase résonna, comme un écho morbide, et tout se mit en place... Le fait que son coeur ne battait plus, les larmes de ses parents, leur air abruttit... Theodora se cramponna aux murs pour ne pas s'affaisser. Elle avait l'impression d'étouffer... Et puis, comme des pièces d'un puzzle qui se mettent en place, elle tilta et prit la fuite. Personne ne s'interposa entre elle et la forêt, tous la regardaient passer, éberlués... Pour eux, la fille Isidor était morte la veille...
Theodora trouva refuge dans la forêt, loin de chez elle. Elle était l'une des premières, si ce n'est LA première victime du virus vampirique...
Theodora poursuivit sa course pendant Dieu seul savait combien de temps. Elle n'y mit fin que lorsqu'elle tomba sur un autre village. Ses vêtements en loques, ses cheveux emmêlés, ses pieds et ses mains couverts de terre, tous la prirent pour une victime d'une énorme bête. Ils voulurent la nourrir, mais toute nourriture chaude lui donnait la nausée... Elle réclama... De la viande crue. Il lui donnèrent, se disant qu'elle avait dû être traumatisée par son expérience, et l'observèrent s'empiffrer de viande, épouvantés... Alors, seulement, ses canines s'allongèrent tandis qu'elle engloutissait en quatre bouchées ce qu'on lui avait apporté. Effrayés par cette hatitude et son air peu commun, les villageois l'enfermèrent dans leur prison.
Theodora y était comme un lion en cage... Elle avait encore faim! Au début, ce fut une énorme bonne femme qui la gardait, mais au milieu de la nuit, elle échangea sa place avec un grand adolescent déguingandé. Alors le vice germa dans l'esprit, autrefois si enfantin, de la jeune fille. Elle s'approcha de lui, avec non chalence, et lui fit des avances... Lui proposant une nuit torride s'il la rejoignait dans la cellule... Ce fut comme si du miel coulait de la bouche de Theodora. Elle le facsina complètement en seulement quelques minutes, et il ouvrit la porte, entrant et réclamant cette chaleur qu'elle lui avait promis. Pas un seul baiser ne fut échangé, la vampire qu'elle était devenue plantant directement ses crocs dans le cou de sa pauvre victime, qu'elle vida presque entièrement de son sang. Repue, elle prit la fuite de nouveau.
Ce ne fut que plus tard, quand elle comprit le sens de ses actes, que le remord la rongea. Elle se flagella, se lamenta pour son crime, jurant que ça n'arriverait plus, se mutilant, se griffant pour se punir... Mais la soif revint. Toujours plus pressante, toujours plus violente... Theodora lutta. Elle lutta pour ce qu'elle avait été, pour ce qu'avait été autrefois sa vie et ses conviction... Avant, elle n'avait jamais mangé de viande et voilà que maintenant elle était obligée de se nourrir de sang... Mais que lui était-il arrivé? Pourquoi elle? Y'en avait-il d'autres comme elle?... Elle voulait réfléchir, trouver une solution à son problème... Mais la soif fut plus convaincante...
Alors, elle trouva un compromis. Elle tuerait, certes, mais plus d'humains. Elle ne s'en prendrait qu'aux animaux... Tuer un humain la rendait folle de chagrin et de remords. Peut-être tuer les animaux lui rendrait-il la vie plus facile?
Et effectivement, si au début elle connut les remords, ils la laissèrent bientôt, au fur et à mesure que le nombre de ses victimes s'allongeait...
Mais la vie dans la forêt n'était pas pour lui plaire... L'hygiène laissait à désirer, et elle se retrouva bientôt obligée d'aller et de venir complètement nue, sa robe ayant terminé en guenilles...
Et puis bien des années plus tard, elle fut recueillie par celles qui l'avaient élevée. Ces dernières avaient eu vent des difficultés qu'elle avait traversé. Elles prirent soin d'elle, ravivèrent l'éclat de sa beauté et l'aidèrent à comprendre quelles conséquences engendrait sa maladie. Theodora resta ainsi plusieurs siècles avec les fées, apprenant autant qu'elle le pouvait. C'est avec elles qu'elle fit l'apprentissage de ses pouvoirs, celui de la terre comme ceux vampirique. Il était plus aisé pour les fées de lui apprendre à maîtriser la terre, ayant elles-mêmes dans leur rang des maîtres en la matière, mais elles se prêtèrent de bonne grâce aux exercices auxquels la vampire voulait s'adonner, pour connaître les limites de ses facultés au mieux. Devant la force de ses pouvoirs mentaux et de persuasion, il fût conclu que temps qu'elle vivrait dans l'arbre des fées, elle ne devrait jamais utliser son pouvoir de persuasion et faire de son mieux pour ne pas écouter les pensées d'autruit. Pour la persuasion, c'était aisé. Quant à la télépathie... Elle fit de son mieux, mais parfois elle relâcha sa vigilence, causant quelques éclats involontaires, mais finalement peu graves pour l'entente de la société.

Un jour, lors de l'un de ses entraînements magique quotidien, quelque chose la troubla. Un être qui n'était ni une fée, ni un humain, ni un chlorophyllien avait été introduit chez les fées, quelque part, elle le sentait... Intriguée, elle cessa son activité pour se mettre à la recherche de cet être qu'elle n'arrivait pas à identifier. Et puis tout alla très vite. Il surgit au détour d'un couloir, en grande conversation avec les fées dominantes. C'était un homme aux traits magnifiques, fins et délicats, mais sa musculature apparente laissait deviner qu'il était loin d'être le genre d'homme prude et réservé. Il avait de grandes ailes noires et un tatouage sur le torse. Le petit groupe était pressé, et Theodora dû se coller au mur pour ne pas être bousculée, voir écrasée par cette troupe. C'est à ce moment là, quand il tourna la tête vers elle et que ses yeux bleus émerveillés rencontrèrent ceux hypnotiques de l'ange. Pour la vampire, ce fut comme si le temps s'arrêtait. Puis, aussi brutalement qu'il s'était arrêté, le temps reprit son cours, emportant avec lui cet individu énigmatique, qui aurait été capable de faire cesser son coeur de battre, s'il n'avait déjà été éteint. L'ange déchu disparû de sa vue, tandis qu'elle, restée en retrait, se laissait glisser à terre, dos au mur, en proie à une détresse qu'elle ne s'expliquait pas. Elle ne savait même pas son nom, ni qui il était... Elle aurait pu le savoir facilement mais on avait été très clair avec elle: c'était interdit dans l'arbre des Fées... Elle soupira.
Theo resta ainsi assise le long du mur pendant des heures, à analyser l'instant sous toutes ses coutures, le tournant dans tous les sens... Jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'il était stupide de se tourmenter ainsi l'esprit pour quelqu'un qui ne vous a sans doute pas remarqué comme vous vous l'avez fait... Elle se releva donc et entreprit de chasser l'ange de ses pensées.
Plusieurs années passèrent, son souvenir se faisant lointain, ses traits devenant flous...
Et puis un jour, il y eu conflit d'intérêt. Les chlorophylliens vinrent trouver les fées pour protester et ordonner qu'on tue Theodora, de la même façon qu'elle tuait les animaux. Le débat fut houleux, ce fut un scandale qui entâcha la réputation de la vampire. Mais la démonstration de son pouvoir, ainsi que les preuves selont lesquelles elle était raisonnable, ne tuait que ce dont elle avait besoin pour survivre et entretenait la nature appaisèrent les tension. Si Theodora et les chlorophylliens ne redevinrent jamais en bons termes, au grand damn de cette dernière, ils se tolérèrent tout du moins.
Au bout de quelques centaines d'années, d'autres cas vampiriques fûrent déclarés. Il était manifeste que Theodora n'était que la première d'une longue lignée. Première sûrement à cause du temps qu'elle passait auprès des fées. Elle résolut alors de trouver les nouveaux vampires et de leur montrer la voie en cas de difficultés.
Tous écoutèrent ce qu'elle avait à dire. Vivant avec la maladie depuis plus longtemps qu'eux, elle était en mesure de les rassurer et de les guider. Bientôt, il fûrent assez nombreux pour monter un clan. De clan ils passèrent à village et enfin à royaume... Si Theodora n'avait jamais souhaité reigner, elle fut placée sur le trône à l'unanimité. Mais restant humble, elle choisit d'établir un quartier général dans un riche manoir d'Atlantide, où chacun de ses "sujets" pourrait entrer et sortir à sa guise. Il était devenu de nottoriété publique que si un jour un vampire était en difficultés, c'est à Theodora qu'il aurait affaire.
Le seul signe extérieur de son rang fut le diadème qu'on lui offrit un jour, en remerciement de ses conseils.
En plus de 2000 ans de vie, inutile de préciser qu'elle a eu le temps de se cultiver. Que ce soit en magie, en combat ou tout autre chose. Mais elle n'est pas vraiment combattante dans l'âme. Si elle s'est refusée à engager des gardes du corps, certains vampires présents avec elle depuis le début veillent à sa sécurité malgré elle, avec ferveur, et étant devenus amis, elle les traite en égaux; comme beaucoup d'humanoïdes cela dit.
A l'heure actuelle, chaque vampire est libre de ses actes. Theodora n'est pas là pour faire reigner un ordre quelconque, une justice, elle est simplement là pour aider ceux qui en éprouvent le besoin.
Etablie à Atlantide, son mode de vie "végétarien" lui a assuré l'accès sans encombres à la cité.
Une fois établie à Atlantide, Theodora voulu apprendre les plaisirs charnels, auxquels s'adonnaient beaucoup d'habitants de la cité. Elle sortit donc, tentant de rencontrer des jeunes hommes, et fut plutôt satisfaite, une demi-douzaine de prétendants se portèrent volontaires pour servir de "cobayes". Seulement, Theo ne pu jamais passer à l'acte. En effet, chaque fois qu'elle s'apprêtait à vivre quelque chose d'intense avec l'un d'entre eux, le visage de l'ange revenait dans toute sa magnifique splendeur subjuguer ses yeux et effacer toute trace de désir des autres... Ca lui faisait pareil à chaque fois... Au bout d'un moment, lasse, elle renonça. Cet ange était peut-être mort, cela faisait des siècles qu'elle l'avait aperçu seulement, et pourtant il refusait de la laisser en paix...

Déscription physique :

De loin déjà, Theodora est de celles que l'on remarque et que l'on piste, tant leur beauté est éclatante... La jeune femme est quelque peu atypique. Très sûre d'elle en publique, elle assume complètement sa physionomie, de même que les traits de son visage. Qu'ont-ils pour tant l'emplir de fierté? Je vais vous l'énoncer présentement. Theodora est une jeune femme d'une vingtaine d'années (physiquement parlant), très bien faite, elle a des mensurations tout à fait idéales. Peu corpulente, menue même, son corps est légèrement cambré, ce qui fait ressortir ses fesses (d'une fermeté à toute épreuve, bien arrondies) ainsi que sa poitrine (bien développée, elle remplit aisément un balconnet). Ces formes aguicheuses sont montées sur une paire de jambes, tout en muscles, fines et élancées, d'une longueur impressionnante. Elle chausse du 40. A la regarder, on ne dirait pas qu'elle pratique plusieurs sports de combat à haut niveau. Mesurant un peu moins d'un mètre quatre-vingt, elle est capable également d'une agilité proportionnée à sa taille et à ses compétences, c'est-à-dire toute relative. Jusque là, me direz-vous, c'est normal d'être imbu de soit-même...
Passons à ses signes morphologiques distinctifs. Commençons par ses cheveux, si vous le voulez bien. Mais justement, par où commencer...? Par leur longueur? Par leur couleur...?
Ses cheveux sont d'une couleur très intense, on dirait de la tulle, ou quelque tissu vaporeux, bleu nacré, avec des reflets argentés... On les croirait trempés dans des nuages... Theodora a des cheveux d'une longueur assez peu commune. Longs jusqu'aux cuisses, il n'est que trop rare de la voir les laisser aller librement le long de ses épaules et de son dos. Très fins, ils sont également très épais. Soyeux, c'est une des choses qu'elle affectionne tout particulièrement dans sa physionomie et cela se voit. Elle s'arrange toujours pour créer des coiffures qui mettront en valeur sa magnifique chevelure, qu'elle entretient comme la prunelle de ses yeux. Toujours (ou presque) tirés à 26 épingles, 36 barrettes, 59 chouchous... C'est son plaisir à elle que de passer une heure à se coiffer avec beaucoup d'accessoires colorés. Et celui de ses partenaires que de les lui enlever...
Passons à son visage. En forme de coeur, il se dessine une faussette sur sa joue droite quand elle sourit. C'est très mignon à voir. Son front est plutôt restreint, mangé par une longue frange, tombante plus bas que yeux, qu'elle coince généralement derrière ses oreilles. Sa peau est douce et lisse, on y remarque l'absence totale de grains de beauté, boutons, ou autres marques, tout comme sur le reste de son corps. Pratiquement imberbe, on pourrait la soupsonner d'être albinos, ou malade?, si ses yeux n'étaient là pour montrer le contraire. Ses yeux justement... bleus. D’un bleu lumineux, couleur de mer. Il n’est pas rare que l’on craigne de la regarder dans les yeux, de peur de s'y noyer, alors que ce sont de simples yeux. En amande, gardés par de longs rideaux de cils. Ils détonnent d'autant plus que la peau de Theo est pêche, d'un beau rosé, plutôt pâle. Entre ses deux yeux, il existe un nez! (Sans blague? n_n) Un petit nez, non pas en trompette, non pas retroussé, non pas appaltit... Un nez tout simplement. Sous son nez, sied une paire de lèvres charnues. D'un rouge sang quand elle est au chaud, ou bien en train de manger, d'un rose pastel quand elle a froid.
Je terminerai ma description par son style vestimentaire. Les robes et Theo... Une grande histoire d'amour... Elle n'est, selon elle, pas née chez la bonne race... Elle aurait aimé être vénitienne lors de la grande époque victorienne... Elle a donc adapté son style vestimentaire à cette saison qui lui a tant plu. Mais en quoi cela consiste-t-il? Et bien c'est tout simple. Elle ne se vêt que de robes à bustier, amples à partir des hanches, brodées ou dentellées, perlées ou nacrées selon les modèles, mais toujours d'un gout exceptionnel. Pour certaines, les manches, serrées au niveau des épaules puis très larges (style moyen-âge) quand elles arrivent sur les mains, lui coutent extrêmement cher mais le résultat est pour elle une source bien plus jouissive que des tonnes d'argent. Les couleurs varient, mais celle qui prédomine reste le noir. Ce qui varie, c'est la couleur secondaire. Ces robes peuvent donc être noires et rouges, noires et violettes, noires et vertes, noires et bleues, noires et grises, noires et rose pâle... Les couleurs qu'on ne la voit jamais porter sont le marron, le jaune et autres couleurs criardes. Elle accorde toujours un soin particulier à coordonner coiffure et vêtements. Elle adore se pavaner ainsi, sachant pertinnemment que la perspective pour les uns et les autres de lui ouvrir une à une les attaches de son bustier en font fantasmer plus d'un, et ce même si elle ne fait que passer... Theo est donc une vampire réellement magnifique (pour peu que l'on aime les blanche-neige, mais même sans ça, elle est vraiment belle).

En ce qui concerne le maquillage, elle se contente du minimum. Khôl noir pour les yeux, mascara et off.

Elle ne se départi jamais de son diadème de souveraine, sauf pour dormir.


Description mentale :

Lunatique. Capable de passer du rire au larmes en quelques secondes. Imprévisible, impétueuse, un caractère de feu... Extérieurement, pour ceux qui ne la voient que de loin, elle est tout ce qu'il y a de plus exaspérant chez une femme... Inssaisissable. On l'envie, on la convoite... Mais on n'arrive jamais à l'atteindre. Elle s'échappe avant que vous n'ayez tendu la main pour la saisir... Ceux qui arrivent à l'aprocher et à la connaître découvrent ensuite sa nature profonde, celle qui se rapproche plus de ce qu'elle aimerait être, douce et conciliante, indubittablement végétarienne, et d'une discrétion sans faille. A ce jour, plus personne ne peut prétendre la cerner entièrement. Elle ne se laisse pas approcher facilement et évite de nouer des liens trop étroits, estimant avoir assez souffert dans sa vie, maintenant qu'elle est lancée sur la voie de l'indépendance et de la liberté, elle n'abandonnerait ces deux idéologies, dont elle a manqué cruellement jusqu'à maintenant, pour rien au monde, raison pour laquelle elle ne laisse personne entraver ses projets... Maligne, impétueuse, perspicace? Mais pas seulement... Intelligente, déterminée, sagace, réfléchie. Voilà pour ses seules qualités. Mais si de nombreuses personnes mettent leur intelligence au service de l'humanité, elle s'en sert d'abord et uniquement pour elle-même. Ainsi, il lui arrive aussi d'être froide, calculatrice, manipulatrice, lorsqu'il s'agit de régler des affaires épineuses... Elle est comme qui dirait "prête à tout" pour atteindre son objectif, mais elle n'est pas stupide et n'ira pas se fourer dans des situations inextricables. Forte tête, elle a une confiance absolue en ses déductions. Dôtée d'un instinct assez impressionnant concernant la nature des gens, il s'avère qu'elle est une excellente conseillère du coeur. Elle sait être attentive, à l'écoute quand il le faut et son esprit de synthèse lui permet de saisir rapidement les données globales d'une situation, pour ensuite adopter la conduite adaptée, qui fera fructifier son affaire. Quand on ne fait pas l'effort de la connaître, on ne voit que sa détermination et sa froideur. Mais si on cherche à aller plus en avant avec elle, on arrive vite à trouver en elle une amie dévouée, compréhensive et particulièrement loyale et fidèle... Mais attention...
Curieuse et passionnée, elle est tenace et baissera en un instant sa garde devant quelqu'un susceptible de lui apprendre maintes et maintes choses...
Les mauvais côtés de la personnalité de Theo ne se manifestent que lorsqu'il y a littige avec un membre de son royaume, et que celui-ci est venu réclamer son aide. Autrement, elle ne se mêle guère des affaires des autres et se contente de vivre sa vie. Extérieurement, elle est tout ce que doit être une jeune femme bien élevée, elle sait faire preuve d'un grand selfcontrol.
Divers :

Theodora affectionne les fleurs et la nature, et malgré sa nature il arrive qu'elle le lui rende bien. Elle ne se nourrit jamais de sang humain, toujours de sang d'animaux. Elle a un tatouage. Un tribal au creux des reins.